Chaque année, Krapp s’enregistre. Chaque année, lors de son anniversaire, il écoute quelques bandes et peste contre celui qu’il a été tout en se remémorant certa ...
La fable ancienne du joueur de flûte de Hamelin transposée par Martin Crimp et mise en musique par George Benjamin, devient un conte lyrique. Une approche immers ...
Il était une fois un pauvre enfant qui n’avait plus ni père ni mère, tout était mort et il n’avait plus personne au monde. Tout était mort, alors il est parti et ...
Harpagon est malade, sans doute souffre-t-il de la même maladie que celle qui devait emporter Molière quatre ans plus tard. Il tousse sans cesse. Il est l’image ...
Comment imaginer que ces amis d’enfance, nés dans cet immeuble et appartenant aux trois familles les plus huppées du quartier, soient capables du moindre larcin ?
Un opéra « diablement humain » comme le qualifiait Goethe. Un opéra pour tous : au plus près du spectateur, au plus près des tourments d’Iphigénie, la vierge dér ...
Medealand. Le pays de Médée… En nommant ainsi sa pièce, Sara Stridsberg désigne d’emblée ce qui en fait le coeur. C’est un univers mental, l’espace clos dans leq ...
Le monde s’agite, les portes claquent. On vit ou on fait semblant. Mais il y a peu d’espoir dans George Dandin. L’humain y est une mécanique sans sentiment.
« La dernière fois que j’ai regardé ma montre, il était une heure trente-huit, une chaude nuit d’août. Je ne sais pas du tout comment je suis arrivé ici ».
Une princesse n’en fait qu’à sa tête, un frère et une sœur vivent ensemble, en « sauvages », éloignés de l’amour, élevant en cachette un beau jeune homme.
Une entreprise vend des "greniers" en kit sur internet. Chaque acheteur en fait un usage différent selon son imagination ou ses obsessions personnelles.
C'est le monologue d'un candide, persuadé que le monde tourne rond et qu'il suffit d'être dans le sens de la marche pour avoir raison et triompher de l'adversité.
"Il était une fois un homme qui habitait près d'un cimetière..." Ce conte, c'est Le Conte d'hiver, méditation sur la mort que le théâtre essaie de transcender.
L'Usine est un texte violemment contemporain. Il ébranle nos certitudes, souligne notre impuissance à vivre et à nous battre dans un monde en perdition.